Geoffroy Roux de Bézieux
Président d’honneur du MEDEF, Président du groupe Notus-Technologies
Diplômé de l’ESSEC, et commando marine de 1984 à 1986, Geoffroy Roux de Bézieux débute sa carrière en entreprise, en 1986, au sein du groupe L’Oréal, dans lequel, pendant une dizaine d’années, il a exercé des fonctions en France et à l’étranger, notamment de directeur marketing en Angleterre puis directeur général en Pologne.
En 1996, alors âgé de 34 ans, Geoffroy Roux de Bézieux cofonde The Phone House, société devenue rapidement la première chaîne de magasins entièrement dédiés à la téléphonie mobile. Dix ans plus tard, il poursuit dans la voie de l’entreprenariat en créant la société Omea Telecom qui lance Breizh Mobile, le premier opérateur mobile alternatif, qui sera racheté par la société Numericable. Il fonde également la société Virgin Mobile. Entrepreneur dans l’âme, Geoffroy Roux de Bézieux fonde Notus-Technologies, en 2014, groupe 100% patrimonial actif dans l’industrie agro-alimentaire, les loisirs et les nouvelles technologies.
C’est également pour ses nombreux engagements que Geoffroy Roux de Bézieux est connu et reconnu. Entre 2003 et 2008, il a été vice-président, puis président de l’association des entrepreneurs de croissance, CroissancePlus, également, membre du Conseil de France Investissement et participant de la Commission Attali, et enfin, vice-président de la Fédération française des télécoms (FFT). Il a fondé en 2005, avec son épouse, la Fondation Araok (“en avant”, en Breton), qui soutient financièrement des associations humanitaires. De 2008 à 2013, il a été pour le MEDEF, vice-président et président de l’Unédic et vice-président Pôle emploi. En juillet 2023, Geoffroy Roux de Bézieux est élu président d’honneur du MEDEF, après y avoir exercé les fonctions de président depuis 2018.
Enfin, Geoffroy Roux de Bézieux a écrit et publié trois livres respectivement en 2007, 2011 et 2021 ; “Salauds de patrons ! Pourquoi les français n’aiment pas leurs chefs d’entreprises”, “Pour sortir de la crise : le capitalisme” et “L'Intendance suivra ! De Gaulle et l'économie”.